Visite virtuelle au village du Vendée Globe avec Camille Gachignard

Les élèves de la classe cm2 de Mme Mechineau se sont mis dans la peau de reporters. Les apprentis journalistes ont choisi de travailler sur le Vendée Globe.

 

Nous avons interviewé Camille Gachignard, une médiatrice culturelle au Conseil Général.  

En cette période de Vendée Globe, elle a été chargée d’accueillir les enfants. «  J’accueille les enfants pour leur apprendre plein de choses, je leur raconte des histoires sur la nature, sur le Vendée Globe, et je peux aussi faire des visites guidées ou des petits jeux pour les enfants. » 

Nous vivons aujourd’hui une période difficile avec la Covid. Le protocole sanitaire ne permet pas au village du Vendée Globe de recevoir autant de monde que prévu : « Je n’ai pas pu aller voir le départ de la course mais je l’ai vu a la télévision. ». Seules 5000 personnes par jour ont pu y accéder pendant 13 jours.

Le village du Vendée Globe a été imaginé par Stéphane Mériau, scénographe. Il imagine des expériences à vivre en famille pour les expositions. Au village, il y a une tente avec des animations 3D et des informations sur les skippers.

L’idée du Vendée Globe date de 1987. Les personnes à l’origine de cette course étaient Philippe Jeantot, Bertie Reed et Guy Bernardin. C’était un pari entre 3 copains pour faire un tour du monde en solitaire et sans escale. 

Le premier départ du Vendée Globe a été fait en 1989 avec 15 skippers. Depuis, 83 skippers ont pris le départ de  l’Everest des mers.

Les premiers sponsors des bateaux étaient : Cacharel, Crédit Agricole, Général Concorde, TBS, Lada et la caisse d’épargne (écureuil).

Le sponsor qui a le plus participé est PRB. C’est une entreprise qui est proche des Sables d’ Olonne, à la Mothe Achard et qui fabrique des produits de revêtement de bâtiments. 

Pour cette nouvelle édition 2020-2021, 33 skippers participent. « Cette année il y a 8 bateaux neufs et 25 bateaux d’occasion. » Ils sont équipés de matériaux spécifiques pour la navigation (foils, radio, winchpro, voiles… ). Pour Camille Gachignard, le désalinisateur et le pilote automatique sont les éléments les plus importants du bateau. 

En ce moment, les navigateurs sont près de l’Australie, dans l’Océan Indien. C’est difficile car il y a beaucoup de tempêtes. On leur souhaite beaucoup de courage pour affronter l’Everest des mers.

Article rédigé par Alwéna, Nila, Maylisse, Mathys, Paul et Romain, élèves de la classe cm2 avec le soutien de leur enseignante Mme Mechineau. 

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